Wesley Dixon; fini [VALIDE]

Ma vie n'est pas si intéressante que ça. Et j'aimerai ne pas trop m'y attarder. Quoique…Parfois, il y a certaines histoires qui peuvent vous faire rire, pleurer ou vous rendre totalement hystérique…Ou pas. Alors commençons par le début puisque c'est obligatoire.
Je suis né à Oxford en Angleterre. Mon père, Chris Dixon, et ma mère, Lullaby Dixon Georgetown, étaient tous les deux médecins. Des docteurs très connus et réputé en Angleterre. Mon père était un sacré chirurgien et ma mère une psychologue hors pair. Enfin Lullaby a du arrêter de travailler puisque au bout d'un moment, je la gênais quelque peu dans son ventre. Il parait qu'un petit garçon est plus violent qu'une fille, et on le porte plus bas. Enfin, j'étais un vrai calvaire pour ma mère, bien avant de naître. Elle eut un véritable problème pour me mettre au monde, deux semaines en retard, on a du lui faire une césarienne. Et je vis pour la première fois le monde. On me nomma Wesley Howard. Je trouve ces deux noms assez ridicules, mais allez dire ça à vos grand père qui portent les mêmes prénoms. Enfin bref…Bien évidemment, avec les parents que j'ai, je n'ai manqué de rien. Sauf peut-être un peu de présence. Mais bon. Ma mère passait son temps à chercher à me psychanalyser et mon père s'inquiéter au moindre rhume. Ca à commencer à partir de mes six ans, quand je suis rentré en primaire. Quand j'ai eu mes premiers amis. J'ai toujours été bien entouré. Sans vraiment cherché la compagnie, je suis très ouvert et j'aime la popularité. J'ai toujours aimé ça. Et même à l'école primaire, j'étais entouré de pas mal de camarade qui m'appréciaient pour ma bonne humeur et mes blagues. J'étais aussi un très bon élève. On n'a jamais eu à redire sur mes résultats. Peut-être un peu sur mon comportement. Bavard et peut-être un peu trop dissipé, j'attirais mes camarades dans les bêtises et ça m'a valu parfois quelques punitions. Mais je m'en fichais pas mal. Sauf qu'en j'arrivais chez moi et que ma mère me posait ses questions pourris aux quelles je devais répondre sous peine d'une punition supplémentaire. Mais même si je parais me plaindre, j’aimais ma vie telle qu’elle était. J’ai été un privilégié dès ma plus tendre enfance. Dans une école privée dès le collège, j’ai réussi à m’en sortir sans trop de dégât et je suis resté naturel. Déjà à cette époque je faisais tourner la tête des filles. Bon je me vante peut-être un peu, mais il parait que mes fossettes et mon sourire les faisait craquer. Mais à cet âge je n’avais d’yeux que pour la jolie Samantha Jackson. Elle avait de long cheveux bruns et un sourire à faire damner les saints. Elle avait deux ans de plus que moi mais c’est moi qu’elle choisit lors du bal de fin d’année pour sa dernière année au collège. J’ai alors reçu mon premier et mon plus beau baiser. J’en garderai un souvenir toute ma vie. Après elle, je suis bien sûr tombé amoureux. Mais ce n’était plus l’amour de gosse. J’ai aimé un certaine Angela et une Kate. Je suis devenu un véritable homme avec la seconde. Ca n’a pourtant duré qu’un petit mois. Mais je m’en fichais. Je rentrais dans la cours des grands. Tout ça se passa au lycée privé où j’étais à l’époque. Ma dernière année ne se passa pas comme les autres. J’ai du déménager en Australie. J’en ai voulu énormément à mes parents de ne pas attendre la fin de ma scolarité, mais ils s’en fichaient éperdument. J’ai du alors changer de vie, me faire de nouveaux amis. J’avoue ça n’était pas si difficile que ça. J’attire les gens. D’ailleurs ça m’a monté un peu la tête, surtout avec les filles. Je suis devenu séducteur et manipulateur avec ces demoiselles. Pour le plaisir de la collection. C’est méchant mais c’est ainsi. Je n’ai toujours pas changé…Enfin presque…
Je suis entré en médecine à cause de mon père. Je n’ai jamais vraiment aimé la vu du sang, mais ce fut les recherches qui m’attirèrent. D’un naturel curieux, j’aime tout ce qui attrait à la chimie et à la biologie. Et quoi de mieux que médecin pour faire passer tous ses expériences pour le bien de l’humanité. En école de médecine je me suis particulièrement approché d’une fille avec qui j’ai lié une amitié sans faille. Joyce Garden est devenue ma meilleure amie par un malheureux coup de chance. En fait, elle n’a jamais voulu coucher avec moi. Donc ça mettait les choses au clair. Et au final on se connait pas cœur. C’est elle qui m’inscrivit à cette émission. Elle pensait, je tiens à préciser à tort, que ça pourrait m’aider à voir les choses autrement avec les filles. D’accord j’ai vingt-huit ans mais c’est pas une raison pour s’affoler. Je compte encore m’amuser un peu avant de me retrouver coincé avec une seule femme jusqu’à la fin de ma vie.